Les politiques d’emploi équitables et inclusives contribuent à réduire les disparités socioéconomiques et les inégalités du marché du travail, surtout celles qui sont fondées sur le genre, les classes sociales et la racisation.
Nous examinons les dimensions travail-famille dans la vie de diverses personnes, notamment des Autochtones, des nouveaux arrivants, des membres de la communauté LGBTQI2S, des parents adultes aux études et des personnes occupant des emplois précaires. Nous cherchons à cerner les différences dans la nature du travail ou dans les mesures mises de l’avant pour concilier travail et famille (p. ex. emploi à temps plein ou à temps partiel, emploi temporaire ou permanent). Nous analysons les écarts salariaux liés à la maternité et les primes salariales liées à la paternité.
Nous répertorions les politiques prometteuses qui favorisent la sécurité de revenu, l’équité et l’intégration travail-famille. Nous réfléchissons aux façons d’élaborer des politiques d’emploi inclusives et accessibles.
En mettant l’accent sur les effets liés au genre, à la classe sociale et à la racisation et dans une perspective d’intersectionnalité, les membres de l’équipe analysent les données mensuelles de l’Enquête sur la population active de Statistique Canada afin de déterminer les changements au chapitre des inégalités en emploi et en éducation survenus depuis les premiers confinements de la pandémie de COVID-19.
Coresponsables :
Sylvia Fuller (Université de la Colombie-Britannique) et Donna Lero (Université de Guelph)
Chercheuses :
Stéphanie Bernstein (sciences juridiques, UQAM); Irene Boeckmann (sociologie, Université de Toronto); Yue Qian (sociologie, Université de la C.-B.); Diane-Gabrielle Tremblay (sciences de l’administration, Université TÉLUQ); Tricia van Rhijn (Université de Guelph)
Collaboratrices et collaborateur :
Lina Hipp (Centre des sciences sociales WZB de Berlin) et Mareike Buenning (Centre des sciences sociales de Berlin)